Impromptu, 2008
il suf de le dire ce qui suit et c’est pas moi d’abord mais Edna O’Brien cité en préface in la Bête qui meure de Philip Roth qui dit que l’histoire s’inscrit dans le corps tout autant moi je dis plus que dans le cerveau le corps est archive d’une histoire mais laquelle il était une fois pour pas de répétition l’ayant dit ailleurs qu’y a t il de mon histoire dans le corps mien idem de celle de l’autre dans l’ espace séparateur qui nous unit qu’avec pas seulement la photographie j’appréhende dans la construction d’un troisième corps fait des images d’un entre-deux corps préhentées les petits jeux de mots suivent dans une quête primitive de communion comme a dit Michèle Chomette pas la quête mais la gestuelle encore moins l’abbé de ma première dans un rituel à la vapeur de l’incantation du réel sans chinoiser à vrai dire ce suf dire ne semblait pas si simple pour qui jusqu’à lors brillait à l’ombre de quelques mots et se dépense toujours à l’argent des images photographiques parler de l’histoire inscrite dans le sien autres corps aussi même de nature ou plus vrai par l’enregistrement mécanique est plus aisé que prévu pour l’imageur que je suis pas vraiment qui montre encore du doigt car le corps est une image et rayé au noir et blanc des griffures du roncier comme taché aux couleurs d’Elles je sert plateautement que l’image photographique est un objet plastique à qui je confie gourmand ce que j’ai de plus intime pour ficeler mon lien à l’autre à l’espace aux choses et itou aux mythes loin d’en être troué je suis sensible à ce que quelques entrevues de figures d’Avec Elles farfouillent les idées de quelques-uns surtout tant mieux de quelques-unes généreuses de dons d’elles plus débornées de préconçus que mon travail fouille sans far leurs esprits pas moins que leurs corps entrecartés m’encourageant dans cette idée récente du mois de juillet deux mille sept à dire ici ce que uns et unes pas les mêmes des fois et moi disent sur les photographies des ex-posées ex-posé moi-même qui croit un peu idéaliste et mélancolique aux images même des corps souvent pré-senties ies à l’intuition salée c’est mieux maintenant parce que c’est moi le tu jusqu’à lors qui énonce avec les autres au travail déjà coltinés que je m’emploie ce qui aujourd’hui n’est pas inutile à construire ce qui n’est pas absurde pour l’architecte même reconduit en photographe pas fumiste tout autant plus constructeur n’ayant jamais vraiment œuvré en moellon dans une vie sans fondations vraies bétonnées des univers divers souvent d’hiver même de terre comme dans la suite d’images du Terrier fondatrice de ma vie d’artiste au corps rampant sur la peau du lac asséché de Guerlédan en un deux corps à corps râpeux je m’appelle pas rabeux encore moins rebot ou rabu comme a pu le microter une radiofranceuse mal inspirée à mon endroit et mal respirée à elle-même de province rémoise pour mieux les encoller à la peau même de la pellicule dans l’idée de constituer ce qui deviendra permanent dans tous les développements de mon grand œuvre non fixé à l’hyposulfite des certitudes mais sensible à la lumière inactinique du doute et des ratés des lumières aveuglées noircissant les peaux sensibles y déjà même comprises celles de mes premières peaulliculées de photographies révélées au fixateur acte manqué d’une relation nouvelle au monde que je voulais en un espace plastique à vivre entre réalité et au lait imaginaire côtoyant le vide dans la ligne incertaine du pêcheur de sa vie qui unit l’endroit et l’envers de son dé-corps où il peut agir du nom du club de vieux à Gennevilliers mais plus lestement dans un jeu d’attachement et de filiation lieu mitoyen avec arrêtes pas anonyme mais étendue comme elles avec un s à venir bientôt plus bas limité pas es pour elles évidemment circonscrit encore moins es au bout dans lequel une relation extrême peut être entretenue à ses objets là rêve Hervé d’Elles mine de rien HR pas gras alors funambule non pas tintinnabule comme le suggère le correcteur automatique mais pourquoi pas mieux miloute aux limites d’un monde tintinnabulé à la menthe des deux pôles d’aveuglements en fusion de la chambre noire de son origine au blanc de l’éblouissement dans des jeux du je que l’on règle tous dans nos vies pas en images forcément c’est sûr en mathématiques ou autre musique moi que néni sauf là je m’étonne en écriture car on ne peut pas faire autre que jouer la vie maille qui maille comme pourrait je me permets dire Winnicot pour tricoter un espace autre physique émotionnel et vide plein de ces images aveuglées de la relation au monde pour créer un ailleurs inventant avec modestie hi hi un espace dans lequel je suis et dont je partira pour révéler sans thé ni équerre de l’architecte chu pas déçu en photographe déchu vraiment sans vrai la même chose et tir chez moi qui le tripote des zones de maux secrets qui me mettent face à mon réel le plus intime je m’idem l’ordre de coller là ces mots déjà écrits par Fabienne Bennetti qu’alors la pellicule devient peut être la peau qui répare unifie lisse les failles les ruptures et révèlent les secrets enfouis même si je sais qu’elle ne supporte pas les images perdues que j’ai dans le corps oui il faut moissonner pas celles que je veux pour régresser vers les désirées oui je fais des photographies d’Elles et comme presque comme Bastiâo le metteur en scène dans Merle d’Anne-Marie Garat les images du corps et celles photographiques ne se rencontrent jamais mais je piaffe à reconnaître leur origine dans un désir qu’on est tout seul à s’inventer vert hors de soi qui n’a pas de nom sauf le sien ici là Rabot on verra l’importance oh oh combien plus au delà en dessous qui naît d’aucune autre éventée c’est beau dit par Bernard Lamarche Vadel en mille neuf cent quatre vingt neuf que je songe longuement depuis vingt ans déjà ou presque quoiqu’on dise on ne les as pas toujours en photographie pas plus qu’ailleurs mais c’est grâce à mes pas vingt ans après avoir été on est toujours planté là loin d’être assis sur un banc de touche abruti comme un cycliste à croire retrouver sa jeunesse je m’en clou je marche donc je suis comme Philippe Dubois pourrait dire l’ayant déjà ailleurs marche toujours à rebours puisqu’il faut bien se rendre au bourg de l’évidence que ma vie entière n’a pas d’autre objet que de comprendre les premiers pas aveuglés à l’emprise de mon nom propre sur mon entreprise enfin ébéniste des images de corpspeaux déjà soupçonné au bois de ma jeunesse à preuve cette tension radicale de chaque image comme une coupe de ce qui est reconnu comme le désenfouissement d’un aveuglement intérieur alors si je n’envisage pas de faire des copeaux de mes corpsbeaux qui croasseraient de rage très juste diraient que la coupe est pleine ouvrant le bec je fromage l’idée bien faite que la perte ou le sentiment de idem d’un objet interne moi un peu toujours externe à ma vie occupé longtemps à regarder le monde un peu perché mais pas aussi aventureux que le petit incompris sur celle qui rompt au cinéma d’Antonioni pas vraiment lui mais moi aussi étouffé par l’ ennui je me rappelle plus tard à la relecture du premier impromptu in Avec Elles du tu trop parlant le premier octobre deux mille sept c’est mieux juste dit si c’est Comencini pour la branche qui casse dans le film me pousse au travers même si des chemins de traverses j’empreinte des territoires circonscrits des expériences photographiques Terriennes d’abord Roncifèriennes ensuite Elliennes Avec enfin à chercher désespérément sa présence plutôt que de reconnaître son absence en toute décence c’est pas moi qui l’ai trouvé dit mais elle tti à la fin du nom de celle là haut plutôt la violence du ressentir qui n’est pas endormie elle avec ses deux yeux ouverts non avec la paupière molle du chien de son maître de là la perte le le vide le vertige le chut tirant je suis pas moins vite que l’ombre de mes pensées cette quête un peu désespérée et mélancolique dans mon rapport à la réalité est quand même belle pour l’idéaliste que je suis dans la filature Antonionesque d’une vérité difficile à enquêter je tricote là qu’elle éclaire la source de ma première photographie six par six centimètres donc carrée extraite d’un buisson de la Creuse qui nommée Soleil noir à carrément sans le savoir alors à voir avec la mélancolie chère à Nerval photographier alors le corps vrai reste un désir impossible aussi le contact avec le corps de nature imprime l’expérience de ma relation à l’autre en une empreinte violente déjà connue d’une brûlure figurant des lignes de vie noires comme celles de ma main gauche dans mon enfance brûlée par la faute à moi la main ou plutôt au poêle qui expliquera plus tard sans aucun doute mon intérêt très marqué pour eux tous aussi brûlants au regard aussi mais pas pareille à moi l’enfance ces maux râlent encore aujourd’hui alors j’enregistre des objets du monde à la recherche d’ une origine sans morale convaincu que pourraient parler de me ma vie des images sans interférences étouffantes d’autrui dit le petit cochon Avec Elles maintenant est le terrain d’un jeu en vrai pas métaphorique d’avant un peu rac du Terrier du Roncier tant mieux hors des racines doulourantes et cette expérience récente même autre labeur cherche là et pas avec un s certes à dévoiler les femmes photographier c’est prétexte à déshabiller les filles dit nue J et cela suffirait déjà à mon bonheur citronné mais surtout à distendre à dilater les limites corporelles de ma relation à l’espace et à l’autre sûr je lègue non pas l’appareil photographique hasselblad si chèrement offert par mon père sans pareil décrit par Alain Fleischer dans ses forces séductrices psychologiques symboliques mais à lui le cadeau dit le rôle de seconde peau le moi-peau de didier anzieudont les limites seraient jusqu’à englober celle de l’autre dans le désir rougeoyant où je tente toujours avec mes piquets d’idées mal piquées à la rocaille de ce camping en Italie face à la mère dans mon adolescence de donner sens à ma relation au monde je photographie des cicatrices gardées dans une chambre noire du corps qu’à brûlé le buisson ardent des impressions du roncier d’enfance dit Anne Marie Garat sans cris avec toussotements asthmatiformes à distance étouffés aux cimes des collines neigeuses d’une montagne bourboulesque ou montdoresque le dimanche dans l’enfermement le lundi le mardi le mercredi le jeudi le vendredi le samedi des classes blanches de projections noires m’enfonçant l’œil grand ouvert dans le chaos me voilà maintenant vers d’autres ardeurs et si je n’emprunte plus les chemins creux de la Creuse vers cette haie de peupliers dégénérés aux fruits écarlatés à la lumière crayeuse de février au milieu duquel apparaissait à moi Hervé le corps tant espéré brûlant sans se consumer je me coltine aujourd’hui tel le diable malicieux d’un conte de fées où tout se produit à son leurre les yeux grands ouverts aveugles du désir suscité par ma chorégraphie hypnotique sensuelle pas con idem celui ardent au feu des sexes épanouis d’Elles si inouïs j’ouie le secret trésor démallé à mon regard qui résiste dans l’énigme du corps de son ex-position preneur voyeur de leurs sexes qui me regardent Elles le ciel tolérantes comme Elle d’Istvan toujours d’Anne Marie Garat qui arrive par le train du soir pas le roman ni A-M G un peu de jujotte et perdant la vue l’œil irradié sans quitter ce qu’autorise la photographie l’autre œil d’Elle vulvé froncé horripilé évasé comme dit au roman regardeur regardé je jujube que ces portraits de corps fonctionnent à rebours de tout principe d’identité Elles c’est le matériau des images je suis un pot de fleurs complète J en vase avec moi c’est violent c’est une création juste acceptable pour l’hôte invitée c’est pas vraiment un travail d’équipe mais une épopée mystérieuse dans un rituel sacré charnel et spirituel où se cabine un peu noir le contrat quasi christique d’une révélation en cette permission de regarder là où l’autre n’est pas regardable l’origine du monde est reliée à un visage en un face un face primitif marqué de cette dimension d’effroi si décrite par Winni dans toute relation première au monde alors avec mon nounours perdu éventré à la paille bourré dans l’envie d’être et de voir c’est pas possible il faut choisir être et voir that is the question je guérande maintenant en ce retable d’images colorées tartinées à la table de mes de-moi-selles au demi-sel de la création de mon missel pas que je cherche Santa Maria Virginela en tout cas pregate pas per me mais le brûlant amour de ma mère si vite glacé me réchauffant à moi pas divin mais ivre de mon origine aux chambres noires que j’aveugle à l’obscénité crue des lumières colorées de ma fête foraine oubliant ces chemins raquéttés de l’enfance je défriche non pas le roncier de nature rique de la relation rac à l’autre qui déclaré mort en l’an deux mille trois par celui qui narrate ici qui vit il depuis encore plus fort régénéré de l’oubli vif que je lui porte mais des fées que je taille nues dans les planches de l’herbier de mes préoccupations quotidiennes en déclinaison d’images pas sages de corps poinçonnés tamponnés aspirés abîmés empreintés apesentés appétissants dit Microsoft ces figures de Mandalas là se décalquent en une collection papillonnesque d’insectes fragiles dans leurs métamorphoses en images en un inventaire de petits faits divers méfaits réels ou imaginaires de corps pas froids marqués au sol à la craie de l’identité je me souviens le trente et un juillet à dix sept heures zéro une d’un courriel intitulé pas long il suf de le dire d’où vient le titre de celui là pas court adressé à toi elle d’une image gardée supputant qu’il faudrait qu’il ne pourrait en fautre autrement que tu vois la dernière suite du travail fait au Pavillon pas le mien mais l’autre entendu plus plastique à l’art contemporain dans le liquide amniotique de sa lumière légèrement verdâtre d’une eau de rivière ou d’un étang algué de la Creuse l’idée courante m’étant venue depuis la traversée du Roncier déjà mais jamais figurée par écrit et encore moins en images tout autant ni même encore vraiment par ma voix économe de désirs énoncés d’ envisager et que tu n’en sois pas fâchée si tu t’en tamponnes une relation exclusive d’images avec toi sans en exclure toutes les images possibles moi aussi je ne le serai pas plus sans e à la fin ça dit avant de partir en Bretagne en espérant alors plus bigoudé que jamais puisque j’allais là-bas en retour t’imager me vrille encore le buisson noir offert si cuissamment si cuissettement dit le correcteur qui ne me crois pas sérieux et je veux dire essoufflé de mots avant qu’ils ne retombent que les corps désirés avant d’Elles sont au théâtre de ma chasse au papillonnes devenus signes que pour les lauréates de mon jeu de postures pas béates dans leurs projets d’être imagé d’abord pour elles-mêmes chacune a ses raisons que j’ignore pas tant je suis l’ami jeur tranquille le papy llon libre qui papille sans effraction leurs sans ombres portées pas vraiment mais on va dire ça comme les forme pas chloro avant éveillées à la lumière naturelle dans un espace photographique original pas érotique pas pornographique épinglées dépecées élevées entre ange et démon en apesanteur elles peuvent se regarder à leur miroir d’air entre ciel et terre ces corps insectes capturés sont prétexte certes à mon regard pointé tu à leurs sexes ouverts si pieuvrement pieusement corrige avec audace l’impérialiste plus justement je trouve là ma foi à vrai dire cérébralement je dis moi mais en vrai passés au Moulinex de ma création à poser les couleurs d’un espace virtuel à leurre de la fusion au corps originel absent quête passée énoncée désespérée plus haut où il est vain oh j’en abuse mais pas d’elles dit l’oiseau drôle que je suis dès fois encore à la table des images servies comme à celle de banquets juché petit à amuser la galerie non celle longtemps partagée de Michèle Chomette quoique de retrouver l’ivresse des codes classiques encore moins les fards de certaines images photographiques si sûres mais pas acides alors il faut parler de petites peintures photographiques et moi rapace qui n’en pique plus je repasse sans fin proie à Elles qui sans se donner s’adonnent à être objet pas d’exposition mais figures d’ex-position abandonnées à l’idée toujours généreuse de participer à une ré-création posturée au poinçon acéré de mon œil à voir pas comme dans le Roncier à l’aveugle des images faites mais tout aussi à l’aune d’un dispositif insectiforme à leur corps ressemblant pour mieux toujours plus laisser l’air et la lumière entre moi-elles et la matière faire imagelles comme aurait pu le dire là encore Michèle Debat sans moi peu confiant de la vie vue qui dit peu ou rien de la relation au monde d’un homme que Philippe Dubois voit s’avancer vers les objets cachés perdus de son territoire intime jusqu’à la chair tangible se menuiser la vie pour atteindre le dedans des choses de l’être pas du bois de ma table pas de dehors pas d’extériorité l’espace sensible comme intériorité sachant un peu funèbre que seul le désir ou la croyance peut faire sens à une vie quêtée sans reposoir de faute œil en faute œil comme dirait Jacques Brel à déshabiller moi le fauteur de trouble l’ombre d’une femme ou des comme une jusqu’a les empreinter les unes les autres empillementées pas fumées en une seule emmaillotées moi avec une fois aussi dans le tapis bleu patiné d’un Saint Suaire de salle de sport dans ce désir d’empreinte là fossilisé de tous les corps avec les histoires dedans et soufflé à la respiration infinitésimale de leur fixité absolue au Sauternes de la transgression qu’est pour moi la traversée de cet autre même roncier que le corps vrai je dessine une même autre calligraphie discrète un même autre séisme en cette nouvelle marche en creux immobile qui à la barque de l’intuition fonctionne toujours comme un report d’affection comme un miroir de sensation et je déponctue plus en dessous pour mieux le fondre un écrit écrin de François Soulages en mille neuf cent quatre vingt-huit à propos de quelques unes de mes images de corps vrais galères en noir et blanc déjà tentées pour moi pré-senti à Elles d’ aujourd’hui pré-salé sans es de ce qui allait advenir au marais de ce travail dernier où broute et paisse la création fragile de ce pas tenté par autre chose que le simple radical qui defossoie quelques vraies fausses histoires inscrites au corps dans cet autoportrait de Moi-Elles où pas vraiment beau parleur j’onde avec M D que je veux faire partager par l’image cet acte du toucher que seul j’ai pu vivre que seul la photographie peut permettre de regarder et de transmettre qui disait beau que la photographie veut rendre éternelles mais aussi comprendre les empreintes des corps qui marchent sur le sable au moment où la mer se retire et avant que les vagues ne viennent effacer ces pas tout est là le désir d’éternité le désir de compréhension le désir de repérage de l’éphémère qui passe le corps vivant le corps en mouvement le corps en galère de mort la mère qui vous quitte et que l’on croit quitter le flou et le vague qui vous submerge le non du pas qui clôture votre bouche et votre corps même si dérisoirement vous criez et bougez alors vous photographiez ou regardez la photo alors l’artiste malgré tout et malgré le nom et le non du pas fait œuvre en silence avec simplicité quasiment frustrement photographier comme un animal et non comme un intellectuel la matière est enfin rencontrée matière imaginaire matière de mémoire matière d’inconscient matière métamorphosée par l’acte photographique matière transfigurée par ce corps relatif corps en relation le corps de rêve moi Herv je dis las là en cet impromptu deuxième du dix février deux mille huit il suf de le dire
Hervé Rabot